Accueil
Dans la grande saga du rock’n’roll, les Rolling Stones sont les anti-héros parfaits. Là où les Beatles chantaient l’amour universel, eux incarnaient l’instinct brut, la frénésie des nuits sans fin. Nés en 1962 dans une Angleterre grise, ils ont capté l’essence du blues américain et l’ont transformée en une machine de guerre sonique.
Dès (I Can’t Get No) Satisfaction en 1965, Keith Richards trouve le riff ultime, celui qui électrise des générations entières. À partir de là, tout s’enchaîne : Beggars Banquet (1968) et son gospel païen Sympathy for the Devil, Let It Bleed (1969) et l’apocalypse annoncée (..…)
～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～
⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
👉 www.patreon.com/ZikLovers 👈
Dès (I Can’t Get No) Satisfaction en 1965, Keith Richards trouve le riff ultime, celui qui électrise des générations entières. À partir de là, tout s’enchaîne : Beggars Banquet (1968) et son gospel païen Sympathy for the Devil, Let It Bleed (1969) et l’apocalypse annoncée (..…)
～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～
⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
👉 www.patreon.com/ZikLovers 👈
