
Il y a des voix qui transpercent le temps. Des voix qui, d’un seul soupir, réveillent le passé pour le projeter dans le présent. Amy Winehouse, en 2006, balance Back to Black et gifle la planète. Un disque incandescent, habité, qui réconcilie la soul sixties avec une détresse crue, moderne, viscérale.
Dès "Rehab", l’affaire est pliée. Les cuivres cognent, la basse roule comme un train en perdition, et Amy, royale, crache son refus de toute rédemption. Un hymne au naufrage assumé, souligné par cette production Motown sous acide signée Mark Ronson. Ce type a capté l’essence du vinyle jauni (..…)
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⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
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Dès "Rehab", l’affaire est pliée. Les cuivres cognent, la basse roule comme un train en perdition, et Amy, royale, crache son refus de toute rédemption. Un hymne au naufrage assumé, souligné par cette production Motown sous acide signée Mark Ronson. Ce type a capté l’essence du vinyle jauni (..…)
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