Accueil
1976. L’Amérique tangue entre rêves défaits et illusions dorées. Les Eagles, artisans d’une folk-rock en apparence douce, lâchent une bombe au cœur du mythe californien : Hotel California. Derrière les harmonies léchées, une fresque trouble, presque funèbre.
Don Henley et Glenn Frey, épaulés par Don Felder, composent ce titre comme un piège lumineux. Une intro de guitare serpentine, une mélodie lascive, un texte qui distille le malaise : cet hôtel n’a rien d’un refuge, c’est une cage dorée dont on ne s’échappe jamais vraiment. Les mots de Henley, cyniques et vaporeux, radiographient la décadence de l’ère post-Woodstock (..…)
～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～
⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
👉 www.patreon.com/ZikLovers 👈
Don Henley et Glenn Frey, épaulés par Don Felder, composent ce titre comme un piège lumineux. Une intro de guitare serpentine, une mélodie lascive, un texte qui distille le malaise : cet hôtel n’a rien d’un refuge, c’est une cage dorée dont on ne s’échappe jamais vraiment. Les mots de Henley, cyniques et vaporeux, radiographient la décadence de l’ère post-Woodstock (..…)
～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～～
⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
👉 www.patreon.com/ZikLovers 👈
