Il y a des albums qui définissent une époque, et d’autres qui semblent s’en détacher pour flotter au-dessus du temps. Led Zeppelin IV appartient à cette seconde catégorie. Sorti en 1971, il capture une forme d’absolu : un équilibre entre fureur et mysticisme, entre blues terrien et envolées ésotériques. Ce disque n’a pas de titre officiel, pas de nom de groupe sur la pochette - juste quatre symboles cryptiques. Comme un sort jeté sur le rock, une œuvre qui se suffit à elle-même.
Dès les premières notes de "Black Dog", le riff sinueux de Jimmy Page rampe et mord, tandis que Robert Plant scande avec une arrogance électrique. C’est du blues transfiguré en bête sauvage, une signature qui rappelle (..…)
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⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
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Dès les premières notes de "Black Dog", le riff sinueux de Jimmy Page rampe et mord, tandis que Robert Plant scande avec une arrogance électrique. C’est du blues transfiguré en bête sauvage, une signature qui rappelle (..…)
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