Il y a des albums qui s’écoutent comme des révélations, des moments où le temps s’effondre, et Dummy (1994) de Portishead est l’un d’eux. Ce disque, c’est une collision presque surnaturelle entre le spleen d’une chanteuse hantée et des paysages sonores sculptés comme des ruines post-industrielles.
Dès les premières notes de "Mysterons", avec cette theremine spectrale, on sent qu’on entre en terrain inconnu. Geoff Barrow et Adrian Utley, architectes sonores du projet, se sont approprié le passé - jazz, soul, bandes-son des années 60 - pour le faire muter dans un laboratoire de trip-hop naissant. Imaginez un mariage tordu entre le scratch mélancolique des samples hip-hop et l’élégance décomposée (..…)
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⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
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Dès les premières notes de "Mysterons", avec cette theremine spectrale, on sent qu’on entre en terrain inconnu. Geoff Barrow et Adrian Utley, architectes sonores du projet, se sont approprié le passé - jazz, soul, bandes-son des années 60 - pour le faire muter dans un laboratoire de trip-hop naissant. Imaginez un mariage tordu entre le scratch mélancolique des samples hip-hop et l’élégance décomposée (..…)
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