1971. L’année où le rock s’aventure là où l’inattendu devient une règle d’or. Et puis arrive Aqualung, cet album de Jethro Tull, qui ne se contente pas de frapper à la porte de la conscience collective : il la défonce avec une poésie grinçante et une virtuosité sans appel. Ian Anderson, flûte en main et voix rauque en étendard, nous entraîne dans un univers aussi sale que lumineux, où les marginaux et les âmes perdues trouvent enfin une voix.
Dès les premières notes de la chanson-titre, on est cueilli par un riff de guitare qui grince comme les rouages d'une usine désaffectée. Anderson pose son regard acéré sur Aqualung, ce vagabond maladif (..…)
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⇥ 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗘𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗹𝗯𝘂𝗺𝘀 !!
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Dès les premières notes de la chanson-titre, on est cueilli par un riff de guitare qui grince comme les rouages d'une usine désaffectée. Anderson pose son regard acéré sur Aqualung, ce vagabond maladif (..…)
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